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Lyrics:
Si j'te parlais de mon pays
O'¹ coulent le lait et le miel
O'¹ l'hirondelle a fait son nid... aussi
Si je me disais h'ritier
D'un glèbe, une terre promise
Que j'aurais voulu partager...
même ma chemise
Chaque homme a sa maison, sa rue
Une femme dort au chevet de son enfant
Les roses ont des 'pines bien entendu
Mais la neige est fidèle en son temps
Tu me dirais, c'est l'gitime
Qu'on t'a vol' jusqu'à ton nom
Qu'on a souill' jusqu'à ton hymne... de front
Les yeux rougis d'un sang amer
[lyrics was taken from http://www.lyrics.my/artists/cossette-sylvain/lyrics/heritier] [ Hritier lyrics found on http://lyrics.my ]
Tu envirais mon abondance
Qu'on a refus'e à ton père... pour peu de chance
Le sable a balay' ta rue
Et la mort s'attarde encore sur ton enfant
Les larmes sèches et ta terre aride
N'ont jamais vu refleurir un printemps
Un jour, j'ai quitt' mon palais
Pour go'»ter un peu ta misère
Et j'ai silonn' tes secrets mon frère
Et j'ai compris tes mots troublants
Le regard en furie au ciel
Lui que j'ai jug' trop pesant... et si cruel
Alors un sage, un inconnu
En mon '¢me a dit "sois fort, toi mon enfant"
J'ai le monde à refaire, je t'ai entendu
Je le tiens, il viendra si tu m'entends
O'¹ coulent le lait et le miel
O'¹ l'hirondelle a fait son nid... aussi
Si je me disais h'ritier
D'un glèbe, une terre promise
Que j'aurais voulu partager...
même ma chemise
Chaque homme a sa maison, sa rue
Une femme dort au chevet de son enfant
Les roses ont des 'pines bien entendu
Mais la neige est fidèle en son temps
Tu me dirais, c'est l'gitime
Qu'on t'a vol' jusqu'à ton nom
Qu'on a souill' jusqu'à ton hymne... de front
Les yeux rougis d'un sang amer
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Tu envirais mon abondance
Qu'on a refus'e à ton père... pour peu de chance
Le sable a balay' ta rue
Et la mort s'attarde encore sur ton enfant
Les larmes sèches et ta terre aride
N'ont jamais vu refleurir un printemps
Un jour, j'ai quitt' mon palais
Pour go'»ter un peu ta misère
Et j'ai silonn' tes secrets mon frère
Et j'ai compris tes mots troublants
Le regard en furie au ciel
Lui que j'ai jug' trop pesant... et si cruel
Alors un sage, un inconnu
En mon '¢me a dit "sois fort, toi mon enfant"
J'ai le monde à refaire, je t'ai entendu
Je le tiens, il viendra si tu m'entends